en décembre 1992, je participe à l'exposition de la galerie Caroline CORRE : les anges vus par 50 artistes

j'y rencontre l'artiste Camille ROCHWERG et nous entamons un échange assidu de lettres

ces portraits que je remets dans la lumière d'un acte magique
- celui de les repeindre d'aquarelle blanche -
deviennent le point de départ d'un texte
LES VISAGES DISPARUS D'UNE LETTRE A CAMILLE